Surprisingly, the Taj actually lives up to it’s reputation. The building is beautiful – perfectly symmetrical, luminescent.  Up close you can see the delicate flowers that are gracefully carved into the walls.

Nicolas had to visit the Taj quickly. He was really sick in Agra – bed-ridden for three days! We learned later that you need to take a special 2-in-1 antibiotic here, because the bugs are particularly resistant. I took most of the Agra photos. I was helped by the random tourist-trappers, who point out good angles and then ask for ridiculous amounts of money…

Le Rajasthan, c’est beau, c’est chaud. Très chaud. La région connaît une grande sécheresse actuellement et tous les jours, on entend que la veille, on a battu des records de chaleur. La journée, les températures vont entre 45 et 50° et malheureusement, la nuit, on ne perd qu’une dizaine de degrés. Sans climatisation, on n’arrive pas vraiment à dormir correctement. La région est vide comparé à la capacité hôtelière, on a bien compris pourquoi maintenant.  Alors, voilà, c’est décidé, on va changer nos billets de train et essayer de trouver un endroit plus frais.

At 32,4°C, Shimla beats a 170 years record” Times Of India, 30/05/2010

Shimla, c’est la ville où le gouvernement britannique allait pour échapper à la chaleur de Delhi l’été et c’est également la ville de montagne la plus accessible depuis Delhi, mais vu la météo dans le journal, on a décidé d’aller plus loin. On va aller à Dharamsala, peut-être qu’on pourra voir le Dalai-lama ?

Du coup, à Jaipur, on n’y a passé qu’une journée. C’est la plus grande des villes qu’on ait vu ici et avec peu de temps, on a pas vraiment eu le temps de sentir l’atmosphère de la ville, mais on y a passé un bon moment.

L’entrée de la vielle-ville :

Le traffic dans la rue :

Un singe mangeant les vieux légumes laissés par les marchants :

Le ciel n’était pas bleu au dessus de Jodhpur, la ville bleue du Rajasthan, il y avait des tempêtes de sables dans le désert du Thar. Il faisait chaud aussi, très chaud. Le nord de l’Inde a des records de canicule en ce moment, il faisait déjà bien plus de 40° alors qu’on était venu à huit heures. Le palais de Jodhpur est vraiment magnifique, il est perché et domine la ville mais après deux heures de visites, nous étions bien heureux de pouvoir faire une pause dans un endroit climatisé.

Deux musiciens à l’entrée du Palais de Jodhpur.

Day 1-4: Delhi

We spent our first few days in Delhi running errands (step 1 buy a lonely planet!) and planning what we would do here in India (oh…  foresight … how sweet you could have been!)  It was nice though, because in between all that, we had a great time catching up with friends (through the ILO and travels) and seeing some beautiful sights (below, Humayun’s Tomb).

In the city, the poverty and wealth side by side are shocking (even when expected!). There are people sleeping on the side of the road (in mass), men pulling huge loads twice their size on carts…  On the other hand, we were kicked out of a restaurant a friend chose because Nico’s shirt didn’t have a collar!  We happily found another collar-less venue with ease…

Day 5 -16: Rajasthan

We spent a week and a half travelling around this very hot, very beautiful region.  I think my favourite city there was Udaipur – this romantic lake-side city is filled with gorgeous palaces and calm relaxed people.  Below’s a pic of the sunset we caught there.

Throughout the region, the architecture is amazing.  Even aside from the delicate beauty of the Taj Mahal, every palace and fort we’ve visited have been pretty awe-inspiring. Some of the hotels and restaurants too – they’re in these 250-year-old buildings with beautiful courtyards centered around fountains, with ornate doorways and draping plants.

Wandering around residential neighbourhoods, the kids are super cute and the people friendly. It’s strange:  in addition to asking us to shake their hands, take their photo and, on occasion, for money, the other common request is for pens.  I’m really curious which former tourists came with mass amounts on pens… perhaps it was in the old lonely planet recommendation.

The streets are filled with animals – we even got a few glimpses of elephants! Monkeys and camels too! Cows here sorta resemble stray cats or dogs – they’re everywhere, wandering the street, nosing through the same garbage that any street animal would.

On revient de Moynaq, c’était un long voyage, mais on tenait à aller voir ces vieux bateaux ancrés dans le sable et essayer de sentir ce qu’est le désastre de la mer d’Aral.

La route pour aller à Moynaq est longue et droite, on roule à travers une plaine dont ne voit pas le bout. Le soleil est lourd malgré un léger voile à l’horizon, il fait chaud. Le paysage est monotone, on passe à coté de cultures de cotons et riz avec certaines parties plus sauvages. Le travail est encore largement manuel, les gens travaillent accroupis dans les champs avec de temps en temps, un ancien tracteur bleu à trois roues, un vieux modèle soviétique.

La ville en elle-même a vraiment des allures de ville côtière, les maisons sont en torchis blanc avec des portails bleus. Au bout de la ville, il y a une falaise avec quelques bateaux dans le sable en contre-bas. Ici, c’était un endroit avec une mer assez profonde pour permettre aux bateaux de mouiller, maintenant, il n’y a plus d’eau, plus rien. Les bateaux sont très rouillés, la mer a disparu ici dans les années 70. Le gouvernement en a laissé une poignée pour mémoire, les autres ont été enlevé fur et à mesure.

La côte est désormais à 160 km et il ne reste quasi plus rien de la mer en elle-même. La région du Khorezm, autrefois fertile n’est plus qu’un désert maintenant. La mer créait un micro-climat grâce à l’eau qui s’en évaporait ; il fait désormais très chaud en été et en hiver, les vents sibériens font tomber le mercure à 40° en dessous de zéro. Tout ça est bien sûr causé par la surexploitation des deux rivières, l’Amou Daria et le Syr Daria dont l’eau est utilisée pour la culture du coton. La culture du coton dans la région est le résultat d’un mariage forcé par les soviétiques, un mariage avec l’enfer. Le coton est désormais la plus grande source de revenu dans la région et l’abandon de cette culture rendrait nombre de personnes sans emploi. Vers quoi d’autre pourraient-ils se tourner maintenant qu’il n’y a plus rien ?

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Départ de Samarkand en direction de Boukhara, on est à bord du “sharq”, un train express qui relie ces deux anciennes villes de la route de la soie. Megan est a côté de moi et essaye de dormir, on s’est levé tôt les jours précédents et le trajet est assez long, le train va mettre presque quatre heures pour arriver. Moi, je n’arrive pas à fermer l’oeil malgré les boules quies, le wagon a des allures de discothèque avec de la musique russe dont le contrôleur a déjà augmenté le volume deux fois …

Samarkand, c’est une ville qui a vu passé les caravanes de la route de la soie, qui s’est vu être la capitale de l’empire de Tamerlan (en persan : Timur Lang) et qui a vu passé les urbanistes soviétiques. Son destin est désormais entre les mains du “président” Karimov qui décidé de restaurer les différents monuments. Nous sommes allés à la périphérie de l’ancien centre pour voir les ruines de l’ancien observatoire … On y a vu des pelles mécaniques, plusieurs dizaines d’ouvrier et beaucoup de béton. On a soudainement compris pourquoi ces travaux exigés par Karimov pouvaient être critiqués.

Photo de la mosquée Bibi-Khanym et de Shah-i-Zinda.

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En arrivant à Tashkent, on s’est rendu compte qu’au même moment l’ADB (Asian Development Bank) avait sa rencontre annuelle ici. Trois jours plus tard, on a partagé le train pour Samarkand avec des membres de l’organisation qui ont le droit de faire un peu de tourisme après la réunion. Du coup, on a également eu cet accueil folklorique.

A sunset in Istanbul – we’ve had a very relaxing time here, meeting up with old friends and wandering around the city.

Here’s Nicolas in the Aya Sofya – the golden ceramics you see were covered for centuries by plaster in this church/mosque/museum.

Bedu

En arabe, on appelle “bedu” les nomades du désert, les “bédouins” en français. J’aime le désert et j’avais envie de rencontrer ces gens, on a alors loué les services d’un local pour nous guider dans les cailloux jaunes et ocres.

Après trois quarts d’heure de route de Palmyre, on arrive près d’une petite oasis avec un lac qui apparemment contiendrait des poissons. A l’horizon, on apperçoit des tentes … On reprend la voiture pour s’approcher, après une tente vide et une tente avec que des enfants, on arrive à côté d’une tente avec une famille au complet dont le fils vient juste de ramener le troupeau de montons. Chouette on va pouvoir assister à la traite !

Dans une chaude lumière de fin d’après-midi, on voit se dérouler cette traite en moins de dix minutes ! Une partition joué tous les soirs sans doute où chacun connait son rôle sur le bout des doigts. Une fois la traite finie, le fils repart avec le troupeau, ils vont marcher une vingtaine de kilomètres pour trouver un endroit avec quelques brindilles à brouter.

Le chef de famille, le père, nous invite à entrer sous la grande tente, il va nous servir le thé pendant que sa femme et ses filles vont s’occuper du lait fraîchement obtenu, elles en font du fromage et du yaourt. Une partie a été mise de coté pour nous le préparer avec du sucre, très bon !

Les femmes nous rejoignent enfin sous la tente et peuvent alors observer notre amusante conversation avec les quelques mots d’arabe appris au fil des jours, les mains et quelques compléments de traduction de notre guide. Ils nous parlent beaucoup de famille et nous les questionnons sur leur quotidien et sur l’évolution de leur manière de vivre. En effet, ils ont troqué les chameaux contre un pick-up en 1980 et ne bougent le campement plus que tous les quatre à six mois. Le nomadisme lutte encore mais je ne sais pas pour combien de temps encore … Et les enfants non plus, le désert c’est bien plus beau et plus tranquille, mais la ville attire. Reste qu’ils ne sont jamais allés à l’école et que donc, une insertion dans la société moderne est complexe.

Le dîner a été préparé par notre guide avant de venir, il est cuisinier en fait. Le plat est posé sur la terre au centre de la tente entouré des tapis sur lesquels nous sommes allongés. On mange doucement, avec les mains et puis, nous sommes satisfait, la nourriture est appréciée par les bédoins. La tente est éclairée au gaz depuis une demie-heure, il est tard dans le désert maintenant, on va se retirer après s’être dis adieu.

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Wadi

Wadi … ça veut dire canyon en arabe. Plusieurs jours que nous sommes en Jordanie et nous avons vu défiler nombre de ces grands canyons. Plus verts au nord près du Jourdain, ambiance désertique à partir de la mer morte.

Deux photos du Wadi Mujib avant que nous partions pour Damas et la Syrie.

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