D’Hong-Kong, on connait la vue depuis le Peak et la queue dans le métro.
Mais je savais qu’il y avait plus … des coins relativement sauvages avec des plages accessibles uniquement en rando ou part la mer. Une petite mise en jambe avant les Fijis.
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Quelle foule ! Bong sang ! Il y a plus de quatre heures de queue pour visiter les pavillons les plus fameux, du coup, on est entré que dans les plus petits : Angola, Iran, Turkménistan, Slovénie, etc. Le site est grandiose et la seule promenade à travers les pavillions est déjà un grand émerveillement. Comme cette expo, c’est l’expo de la démesure, même après avoir beaucoup marché, on a peut-être juste vu un peu plus de la moitié des pavillons. Le plus grand et plus majestueux, c’est le pavillon chinois, une architecture moderne qui reprend certain symbole de la culture chinoise. Il a ses détracteurs, mais moi, je l’aime bien.
Nous avons terminé notre visite par un bâtiment en forme de soucoupe volante qui sera une salle de spectacle façon Paris-Bercy après l’expo. Après avoir profité de la vue après le couché de soleil depuis la soucoupe, nous sommes rentrés, fatigués.
Imaginez une colonne infinie de gros bus déverssant leur torrent de touristes au pied d’un mur tout neuf, tout bétonné… Bravo. Vous avez vu la muraille de Chine.
J’exagère, mais pas tant que ça. En Chine beaucoup de monde, c’est vraiment beaucoup de monde. On est juste passé devant cet endroit ultra touristique au nord de Beijing pour aller quelques kilomètres plus loin où le mur n’a pas été restauré et c’est vrai que la marche est un peu difficile, mais après le Ladakh, pas trop de problème. Les bétonneuses sont néanmoins au pied du mur, on s’estime heureux d’avoir eu ce moment, quasi seul sur le plus grand mur du monde.